Ont pris part à cet événement toutes les organisations
des Nations Unies dont ONU FEMMES et leurs différents partenaires parmi
lesquels l’Association de Lutte contre les Violences faites aux Femmes, Antenne
de l’Extrême-Nord (ALVF-EN) œuvrant dans le camp sur les questions de
Violences Sexuelles Basées sur le Genre; les relais communautaires des divers
services; les réfugiés eux-mêmes ; les autorités traditionnelles des
communautés hôtes ; les médias nationaux et internationaux ; les
forces de maintien de l’ordre du camp.
Sans plus tarder, le programme s’est poursuivi par la
rencontre de 02 familles de réfugiés pendant 15 min chez chacune d’elle. Après
l’accueil et les présentations, le Haut-Commissaire a discuté avec les membres
de ces familles question de voir les conditions de vie des réfugiés et de recueillir
leurs impressions sur leur état d’esprit, les problèmes et les difficultés
qu’ils rencontrent au quotidien. Ils ont
exprimé leur degré de satisfaction et
leurs sincères remerciements pour tous les efforts, les moyens et les services
déployés pour eux. S’en est suivi le point de presse et les interviews en
direct du Haut-Commissaire et de certains membres de sa délégation. Le point de
presse a été tenu dans l’espace attribué au Centre Vie de Femmes du camp.
L’équipe de l’ALVF-Extrême-Nord a saisi l’occasion des
arrêts dans les différentes étapes de la visite pour faire des exposés sur les
différentes interventions dans le cadre du projet « Cohésion sociale et réhabilitation des femmes et filles refugiées,
victimes ou survivantes des VBG/viols, affectées par le conflit au Nigeria ».
Ce qui a été très apprécié par la Représentante de ONU Femmes au Cameroun
Enfin, la visite s’est soldée par le départ du camp pour
les communautés hôtes afin de rencontrer des familles et d’échanger brièvement avec
elles pendant 20 min, avant de rentrer
sur Maroua ; puis sur Yaoundé.
Cette visite était appréciée de tous car elle s’est bien
déroulée et a permis de galvaniser toutes les parties prenantes qui œuvrent
pour le bien-être des réfugiés du camp de Minawao.
Par
Hadidjatou Yaouba, ALVF-Extrême-Nord
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